Christophe Alvès
Après l’obtention d’un BTS en mécanique automatisme, Christophe Alvès exerce un métier “sérieux” dans l’industrie avant de démissionner pour se lancer dans sa passion: le dessin. En tant qu’illustrateur, il réalise depuis 1993 des affiches, des logos, des dessins publicitaires, des jeux pour enfants… Lors de stages de scénario, il rencontre Rodolphe, Makyo, Léturgie, Dieter… Puis intervient une rencontre déterminante, celle de Thierry Cailleteau, qui lui présente le scénariste Samuel Bournazel. Avec ce dernier, il crée “Dusty Dawn“, aux éditions Vents d’Ouest. Depuis, il a réalisé diverses Bandes Dessinées tout en continuant son travail d’illustrateur…
Sylvie Arnoux
Drôm’ardéchoise exilée à Lyon, Sylvie Arnoux écrit pour les petits et les grands. Principalement auteure jeunesse (mais pas que…) une partie de ses publications utilise une typo adaptée aux lecteurs dyslexiques (ce qui ne dérange pas les autres lecteurs !). Une BD “Terence l’apprenti magicien” en tant que scénariste en 2022, deux autres BD sur le feu… Victoire 2eme prix Chronos Capricieux 1er – Prix album jeunesse Allevard 2017. Elle intervient régulièrement en écoles ou médiathèques. Adhérente à la Charte.
Jean-Christophe Balan
C’est aux Beaux-Arts de Saint-Brieuc que Balan prend conscience qu’il peut allier sa passion du dessin et sa profession. Au début des années 2000, il fonde avec quelques camarades, “les Tontons grapheurs”. Un collectif de dessinateurs-illustrateurs. C’est au milieu des années 2000 qu’il donne vie à Rhésus et Dulci pour le magazine “Meuriad”. Rhésus & Dulci sont un peu un duo de clowns, Rhésus étant l’Auguste et Dulci le Clown blanc. Ils évoluent dans un monde dans la pure tradition franco-belge.
Bruno Bazile
Je suis né en Juin 61, à St-Nazaire. Pour mes 6 ans, je reçois “Astérix légionnaire“. Boum! Révélation ! La rencontre des dessinateurs nazairiens Y. Magne et J-P Danard m’encourage. Cependant, je poursuis des études classiques. Je rentre même à la fac d’Arts Plastiques (croyant y retrouver Michel Plessix, rencontré dans un festival breton peu avant), et pour ce faire, je monte à la capitale de la B.D : Rennes. Là, je me fais tout petit dans un coin de l’ atelier de J-C Fournier, fasciné. Jje commence à enseigner, dès 85, en même temps que de publier mes premières pages dans la Presse jeunesse, de Mikado à Fripounet, jusqu’en 92. Ce n’est que plus tard, en 97, que je collabore avec Plessix (puis Kervarec), pour “les Forell”, le temps de 2 albums et demi. La série est interrompue très brutalement. Par réaction, tout seul, je réalise “les Faussaires”, qui sort en 2001. Avec Pierre Veys, commence une longue collaboration : ce seront “ les Avatars ”,( 3 tomes chez Dargaud, actuellement), et “Arthur et Merlin”, chez Soleil.
Claire Bigard
Dessinatrice dans la publicité, elle réalise en 2009-2010, en auteur complet, deux tomes de la série Méprise. Dessinatrice réaliste, son trait convenant parfaitement à la bande dessinée historique, elle a repris depuis le dessin de la série Agris dont le tome 3 “Le cœur ou la raison” est sorti en juin 2012. En 2013, elle a réalisé des panneaux d’illustration sur les Gaulois pour le musée archéologique de Lattes.
Briac
Même s’il dessine depuis son plus jeune âge et qu’il a fait du graphisme son métier, Briac aura dû attendre ses 40 ans pour voir publier son premier album. “Il était temps… “, avoue l’artiste, revenu à la BD, sa passion, depuis quelques années seulement. Entre-temps, il aura toutefois obtenu deux prix récompensant les jeunes auteurs, l’un au festival “Quai des bulles” de Saint-Malo, l’autre à Landerneau, les deux en 1998. L’action d’Armen 43, signé tout simplement Briac, se déroule dans un phare. Un face-à-face entre deux gardiens bretons et trois soldats allemands, en pleine Seconde Guerre mondiale. Le scénario est bien huilé, les dessins plutôt noirs, à la manière de Bilal, sa référence en la matière. “Je voulais faire un huis clos, c’est très rare en BD, explique l’auteur, mais autre chose qu’une histoire d’amour…”. Un deuxième album en préparation Malgré deux ans
Jocelyne Charrance
Jocelyne Charrance a toujours baigné dans un monde de créativité. Par le biais de l’entreprise familiale d’objets décoratifs pour bébés, elle rencontre les auteurs de littérature enfantine (Frédérique Stehr) et de bandes dessinées (Colin Wilson, Jeannette Gale, Frank Le Gall et Dominique Thomas) qui l’amène à produire trois albums à l’Ecole des Loisirs et a obtenir ses premiers contrats aux éditions Soleil. Elle devient vite la coloriste privilégiée des séries historiques (Le Khan pour Houot, Zoulouland pour Ramaioli, La Saga de Bas-de-Cuir pour Rocca, etc.). Depuis, sa production se diversifie avec l’heroïc fantasy (Ganarah pour Meddour), la science-fiction (Le Lièvre de Mars pour Parras, Septentryon pour Houot), l’aventure (Tanguy & Laverdure pour Fernandez), le western (Wanted pour Girod, Durango pour Swolfs), l’ésotérique (Le Mal pour Houot) et l’univers pour la jeunesse (Sales mioches pour Berlion et Skiav). Que ce soit la gouache, les encres, l’ordinateur et quelques fois les trois réunis, sa technique de mise en couleurs est appréciée pour sa capacité à s’adapter.
Pascal Davoz
En bande dessinée, Pascal Davoz collabore en tant que scénariste avec Jean Torton,(Jéronaton) Anne Hofer, Wyllow, Eudeline, Philippe Tarral, Béni, Massimiliano Notaro, Yves Plateau et Richard Ortiz. Il est l’auteur, aux éditions Casterman, dans la collection « Jacques Martin présente », d’une biographie en quatre tomes de Napoléon Ier. Il est l’auteur, en 2020, aux éditions Paquet (aux dessins Callixte et Van Linthout) de l’adaptation BD des Dix petits nègres, d’Agatha Christie, sous le nouveau titre “Ils étaient dix“
Grand spécialiste de Napoléon il publie chez Idées Plus “La Gloire des Aigles” sur la campagne de Russie.
Dan Derieux
Auteur, dessinateur, illustrateur, Dan Derieux a baroudé durant une vingtaine d’années à l’instar de ses Ancêtres Vikings. Il est très engagé dans la protection animale. On le croise dans les forêts de bambous à Kigali protégeant les gorilles contre les braconniers, sur les chemins de brousse en Colombie en compagnie des chercheurs de trésors, dans les fonds marins du cimetière de bateaux à Karachi, à Damas ou à Beyrouth, à Djibouti au plus près des requins, à Hong Kong avec d’autres requins ou comme garde du corps d’un chef d’État… Comme ses pères Vikings il aime l’action et l’aventure. Féru d’histoire sur la période « viking », il va au bout de ses rêves avec son voilier viking Gungnir de 20 m pour accomplir des navigations expérimentales sur les mers du Nord de l’Europe. Entre deux équipées il propose des conférences sur les Vikings. Il écrit des romans d’action et de suspens, un roman historique, un essai politique, un ouvrage sur l’histoire des vikings et deux albums d’aventures avec illustrations et photos tirés de ses carnets de bord de capitaine du voilier viking Gungnir. En juillet 2020, Dan sort son premier livre jeunesse dont il est l’auteur et le dessinateur, “Gunny le Premier voyage“, conte poétique inspiré du navire Gungnir.
Laura Derieux
Née en 1990, Laura, tout comme sa sœur Cindy voue une grande passion à l’histoire etau dessin. Elle collectionne les bandes dessinées et les comics américains. Elle a un intérêt tout particulier pour la conception graphique et le story-boarding. Bercée par les histoires vikings depuis toujours et dévorant chaque livre les concernant, elle se consacre entièrement à sa passion après ses études, en réalisant la bande dessinée Vikingars, en collaboration avec sa sœur Cindy après plus de deux ans de travail.
Henri Dufranne
Il fait ses débuts après l’armée en 1964, en dessinant “Thermogène“ au journal ”Record“ puis ”Titchioli, le gondolier” pour un petit format aux éditions “Aventures et Voyages”. Il dessine ensuite des récits complets de 4 et 6 planches dans “Bibi Fricotin” et “Les pieds nickelés“. En 1967, il fait ses débuts à “Vaillant” et accessoirement à “Pilote” où René Goscinny a la bonne idée de l’envoyer chez Christian Godard qui cherche quelqu’un pour l’aider au lettrage et à l’encrage de “Norbert et Kari” et “Martin Milan”. C’est chez lui que Dufranne apprend le métier. Il travaille également pour “Pilote”, pour lequel il réalise de nombreuses planches sur des scénarios de René Goscinny, Reiser, Fred et Lob.
Oriol Garcia I Quera
Auteur spécialisé dans la bande dessinée historique, et plus particulièrement dans les personnages et épisodes de l’histoire de la Catalogne, il a dessiné plusieurs albums, presque toujours avec son propre scénario, et publiés en catalan. Pour Editorial Casals, il a réalisé la série de trois albums Barcelona 1714 : L’Onze de setembre, Corpus 1640 : La revolta dels segadors et Guifré 897 : L’origen de la nació, et pour CEM Edicions les albums Rocaginarda, L’exercit errant et Trilogia medieval. Lors du Salon de la bande dessinée de Barcelone 2007, l’exposition “Historieta de Cataluña” était présentée, composée en grande partie de pages de différents albums de García.
Alain Gaston
Gaston de son vrai nom Alain Rémy, est un dessinateur de bande dessinée français né au Maroc en 1965. Il a également travaillé dans l’animation, le jeu vidéo et la presse. Il se fait connaître avec ses carnets de voyages : Balades en Guyane, Réunion, Amazonie, Madagascar, Mayotte, Marseille… A ce jour après un album sur Boby Lapointe et un album sur Renaud, on le retrouve ici avec plaisirs pour nous faire découvrir le génie de Manu Chao.
Lily la graphiste
Lindsay GAUDOU-LABERGRIS a plusieurs cordes à son arc créatif. Mangaka, dessinatrice de bande dessinée alternative et illustratrice, cette jeune femme originaire de Dreux est aussi graphiste. D’ailleurs, Lindsay est aussi connue sous le nom de Lily la Graphiste. Son trait de dessin est très inspiré par le manga, un style qu’elle affectionne depuis son plus jeune âge. Dans son travail de dessinatrice, on ressent l’influence de Star Wars, Tron, Ghost in the Shell, Gunnm ou encore Le Seigneur des Anneaux. L’univers gothique de Tim Burton n’est pas loin. Lindsay GAUDOU-LABERGRIS est l’auteure d’une série de bandes dessinées de science-fiction mi-manga mi-comics intitulée Les Chroniques de Ayonéri.
Thierry Girod
Après un passage aux beaux-arts de Lyon puis d’ Annecy, il travaille quelque temps comme illustrateur avant de se lancer dans la bande dessinée. Son premier album, L’ombre du dragon, est édité par les éditions Agorma. Bien qu’un scénariste soit crédité, Thierry Girod a pratiquement tout réalisé lui-même, le dessin bien sûr mais aussi le scénario.
Aux éditions Soleil, il signe ensuite le dessin de la série Wanted, sur des scénarios de Simon Rocca (pseudonyme de Georges Ramaïoli). Six albums de cette série seront réalisés. Les cinq premiers tomes forment une histoire complète, alors que le tome 6, resté sans suite, démarrait un nouveau cycle. La raison de l’arrêt de cette série est la reprise par Thierry Girod du dessin d’une autre bande dessinée western : Durango, série créée par Yves Swolfs, qui en signe toujours les scénarios.
Thierry Girod a dessiné trois albums de cette série. Excellant dans un style de dessin réaliste, Thierry Girod est reconnu pour la précision de son dessin et la qualité de ses encrages.
André Houot
Né en 1947, André Houot suit les Beaux-Arts de Nancy avant d’enseigner dans la Meuse. Il ne vient que tardivement à la BD en signant le premier album de sa série « Chroniques de la nuit des temps » chez Fleurus en 1987. Il poursuit la série au Lombard avec trois tomes, dont le dernier sera réédité chez Soleil en 1995. « Ars engloutie », le cinquième volume, paraît aux Éditions Glénat en 1994. Pour Soleil il débute la série « Le Khan » en 1995 avec le scénariste Simon Rocca. Celle-ci compte actuellement cinq tomes. Il signe ensuite scénario et dessin de la série “Septentryon” qui paraît dans la collection Caractère des Éditions Glénat. Houot possède un trait alliant finesse et précision, mêlant conjointement rigueur et dynamisme.
Eric Ivars
Eric Ivars publie ses premiers dessins pour les éditions Fleurus et Bayard début des années 80, ensuite c’est chez Fluide Glacial en 1985 puis dans Best, Rock & Folk, Hard rock magazine, Wind Magazine. Il a aussi dessiné dans de nombreux titres de presse, du Journal de Mickey à Pif Gadget en passant par l’Echo des savanes, Science & Vie Junior, Spirou… En 1989, il intègre le Psikopat, le magazine de Paul Carali dans lequel seront prépubliées toutes les histoires reprises en albums. En parallèle, il dessine assez régulièrement pour la presse, dans des magazines comme 30 millions d’amis, Fluide glacial, FHM, Men’s Health… Il a aussi dessiné dans la nouvelle version de Pif Gadget (en 2004) en créant ses petites histoires de Circus Story reprises en albums par l’auteur.
Kaya
Né en Bretagne, Pascal Levey s’est installé en Haute-Savoie en 1984. Ayant eu le coup de cœur pour le Pays de Gavot, il a trouvé le bonheur avec un coup de crayon extraordinaire, son plus grand plaisir c’est de croquer la vie à coup de caricatures parfaitement réussies. Pascal adopte une vieille sagesse qui oriente ses idées dans l’humilité. Pour lui, l’art de la caricature est précisément une mission car, avec ses dessins humoristiques, il cherche à comprendre le monde. Il veut aussi le faire comprendre. Ses émotions sont reproduites sur le vif. L’humour de Kaya est reconnu et apprécié. l`humour vache est né…
Jean Michel Lemaire
Titulaire d’une licence d’art plastique,il organise dans les années 80, une exposition des œuvres de Jean Giraud / Moebius et participe à la création du 1er festival de bandes dessinées blésois (B.D. Boum). En 1985, il rencontre Philippe Caza avec qui il travaille sur trois histoires et un projet de plusieurs albums. Il publie dans “Fond de poche”, “Yéti“ et ”Sapristi” ainsi qu’aux éditions Cüpula en Espagne et collabore à deux albums, “Olive ou les pas enchantés“ et ”Le Mois noir“. Il participe à l’album “Algérie, la douleur et le mal” (Éditions B.D.Boum ) ainsi qu’à “Paroles de taulards”, “Paroles de taule” et “Paroles de parloirs” aux éditions Delcourt. Il publie un livre illustré “Caïenne, l’indien qui voulait unir les tribus” aux éditions de l’Harmattan en 2007. La même année sort “Le journal de mademoiselle Lusine- Vol.1 : La fée de la Possonnière” chez Deirdre Éditions. Devrait suivre “Le journal de mademoiselle Lusine – Vol. 2 : L’île aux fées” ainsi qu’un carnet de croquis. Il collabore avec la maison de la magie de Blois, pour une expo sur les illusions d’optique, son autre passion avec la Bande Dessinée.
Yann Lesacher
Yann Lesacher navigue entre le dessin d’humour et le dessin traditionnel, suite à une formation de graphiste et illustrateur dans la publicité . Diplômé des Gobelins à Paris, le parcours se fait à travers l’expérience de la caricature, de la peinture, du carnet de voyage. Élevé comme beaucoup d’autres à la lecture des Franquin, Gotlib et autres Goscinny , son travail est souvent agrémenté d’une vignette d’humour, destinée à agrémenter un travail d’apparence plus classique. Il crée sa propre maison d’édition (Éditions de Dahouet) afin de mettre en volumes son travail actuel, qui consiste à réaliser une longue randonnée sur les côtes de Bretagne , puis à en faire des pages dessinées, sorte de carnet de voyage mais sous le signe du second degré . Ces parutions régulières ont pour titre : “Une Bretagne par les contours” et sont régulièrement présentes sur plusieurs salons du livre ou salons BD
Erwan Le Saëc
Après une scolarité sans grand intérêt et divers boulots en tant que salarié. Erwan Le Saëc participe à plusieurs fanzines BD pour ne pas arrêter de dessiner. En 2012, il décide d’un changement de cap radical dans sa manière de travailler, plus aucune concession n’est faite, il ne collaborera pas sans mettre son grain de sel dans un scénario, narration, découpages et dialogues. Ce qui l’amènera naturellement à écrire ses propres histoires.
Gwendolyn Levier
Gwendolyn Levier est une jeune auteure. Elle dessine depuis l’enfance, inspirée par sa Bretagne natale, ses landes et ses brumes. Elle a été bercée par l’héroïque fantaisie sous toutes ses formes : Dark crystal, Legend, La quête de l’oiseau du temps, Elf quest, L’assassin royal, le cycle de Krondor… Elle a toujours su qu’elle ferait du dessin son métier. Elle est entrée en formation Arts appliqués au lycée puis en BTS design d’espace. Ce dernier cursus l’a convaincue de retourner à son premier amour : la BD. Elle a alors repris une formation dans l’école spécialisée Jean Trubert. Depuis elle réalise des commandes pour des particuliers et des entreprises. Elle a réalisé en 2015 son premier album complet “Van la force de l’amour” pour l’association Les Amis de Van et participe actuellement à l’album “Les merveilles du Mont-Saint-Michel” aux éditions Guymic.
Gilbert Lions
Sa première page de BD parut en 1972 dans Forum94… il avait 20 ans. Dans la foulée, KALEMBOURG (avec un G à l’époque) fit son entrée dans TINTIN l’Hebdopimiste… puis TAROH dans les Pieds Nickelés. Il rencontre Philippe Luguy, dans les locaux des Pieds Nickelés… Le temps de devenir amis et il lui demandé d’écrire des scénarios pour Sylvio Le Grillon qui fut publié dans PIF GADGET à partir de 1974. A l’Atelier de dessin “Place des Vosges”, entre deux poses, il rencontre Jean-Pierre Terrien ; devenu amis puis beaux-frères, ils ont dessiné ensemble Looki, le petit Lion pour les Editions Fayolle et surtout Paris sur Mer paru dans PISTIL en 1978. En 1979, il pratique du dessin animé médical chez INTERSCIENCEFILM, anime Mornebarde dans le journal Saint Maurien du maire de l’époque et publie quelques histoires chez FLUIDE GLACIAL jusqu’en 1982. Puis il arrête toute activité pendant 30 ans avant de s’y remettre pour le plaisir !!
Philippe Luguy
Philippe Luguy, de son vrai nom Guy-Philippe Liéron, est un autodidacte du dessin.
Sa très longue carrière commence dès l’âge de 19 ans au sein de très nombreuses revues où Il dessinera des centaines de jeux, d’illustrations et de gags… C’est avec le personnage de Sylvio LeGrillon qu’il entre dans le milieu du 9ème art mais c’est surtout avec la naissance de Percevan en 1981 (avec la complicité de Jean Léturgie) qu’il acquit la reconnaissance de ses pairs. Cette série continue d’ailleurs encore aujourd’hui. Pourtant bien d’autres séries ont émaillés son parcours : Cyril, Karolyn, Gildwin pour ne citer que les plus connues. Cette collection va vous montrer presque toutes les facettes de son talent et vous faire découvrir quelques inédits dont la future série à laquelle il s’attelle… La mare aux nymphes, sur un scénario de Eric Corbeyran.
Alain Mary
Alain Mary a dessiné pendant longtemps pour son plaisir dés son plus jeune âge. À quatorze ans, il illustrait déjà le journal de son école. Plus tard, les réseaux sociaux lui ont procuré une ouverture sur le monde et l’opportunité de faire connaître son travail en dehors du cercle familial.
Jean Christophe Nègre
Né en 1969, Jean-Christophe Nègre fait son entrée dans le monde de la BD en 2016 avec la parution de ‘‘Alter Ego’’, le premier opus de « La Rouge et La Noire », une mini-série qui fait le choix de l’humour noir et de l’ironie pour moquer les travers des hommes. Deux tomes suivront : ‘‘Opium Populi’’ et ‘‘Sexus Imperium’’.Changement complet de style et de genre avec ses albums suivants : « L’Impure », un polar néolithique (one-shot), et ‘‘Le cimetière de Sad Hill’’ (premier épisode de la série Banjo, BD interactive qui permet aux lecteurs d’écouter sur leur smartphone le héros jouer de la musique).
François Plisson
François arrive à Brest à l’âge de 9 ans. C’est pour lui une fabuleuse découverte : la mer, la pratique de la voile, les bateaux, la musique celtique. Dès l’âge de 10 ans, il se mettra à la bombarde puis le hautbois au Conservatoire National de Région de Brest et les flutes irlandaises. En complément, il est peintre, dessinateur et sculpteur dans l’âme. L’influence de cette Bretagne mystérieuse, riche et fortement marquée par sa culture a forgé son imaginaire et ses envies graphiques. Avec Hélène Cornen, il conçoit, réalise et produit LA POMPOUNELLE, compagnie de spectacles de marionnettes de 1983 à 2003. Après, l’Ecole Nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, c’est en 1987 qu’il fait une entrée remarquée dans monde de la B.D. avec TRISTAN (7 albums chez Dargaud) sur les scénarios d’Hélène Cornen. Il se fait aussi remarquer par ses talents de sculpteur. En 2005, il créé les éditions de la Fibule et produit toujours avec Hélène Cornen la série jeunesse “Les korrigans d’Elidwenn” et réédite les albums de sa longue carrière.
Georges Ramaioli
Georges Ramaïoli apprend à lire avec les bandes dessinées. Il suit des études techniques poussées et perd une quinzaine d’années de sa vie dans l’administration. C’est à Tahiti que sera éditée sa première BD ! Il débute vraiment sa carrière dans la bande dessinée en 1974. Lors d’une séance de dédicaces, il montre ses planches de western à Jean Giraud, l’une de ses idoles. Celui-ci lui confie l’illustration d’un scénario western qui sera publiée, à l’initiative de Wolinski, dans « Charlie Mensuel ». L’année suivante, il fait la connaissance du scénariste René Durand, avec qui il crée “La terre de la bombe”. En 1976, naîtra un western particulier teinté de science-fiction et de fantastique, “L’indien français“, publié pour le magazine « Circus ». Passionné par les histoires et l’Histoire, cet auteur effectue pour chacun de ses albums de grandes recherches documentaires : la vie des Zoulous comme dessinateur pour “Zoulouland”, la période gallo-romaine pour “Vae victis”, ou encore la période mongole avec “Le Khan” en tant que scénariste, sous le pseudo de Rocca. Le western est l’un de ses thèmes de prédilection. Avec Thierry Girod au dessin, il écrit les aventures du chasseur de primes “Wanted”. En 1995, en collaboration avec Christophe Bec, c’est à la légende américaine qu’il s’attaque, avec “Princesse rouge”. Dans le même créneau, il réalise grâce à Soleil, un rêve d’enfance, en adaptant en BD les romans de James Fenimore Cooper avec la série en 6 tomes, la “Saga de Bas de cuir”. En 2003, tout en poursuivant “Zoulouland”, il réalise avec Jean-Yves Mitton “Colorado” aux Éditions Carpe Diem. Influencé par Giraud, cet auteur passe avec aisance de la science-fiction au genre historique, du western à l’aventure.
Mike Ratera
Né à Barcelone, le 14 Juillet 1960, tout jeune, il rêve déjà de devenir auteur professionnel. Il fait ses études à l’École Massana des Beaux Arts de Barcelone. Dès 1983, il organise des ateliers itinérants des “techniques du comics” en Espagne : Barcelone, Oviedo, Logroño, Lanzarote, Ponferrada, Avilés,… Trois ans plus tard, il est engagé comme professeur de techniques du comics (scénario, découpage, dessin, création des personnages, …) à L’École de Bande Dessinée Joso de Barcelone. Co-fondateur du magazine “Zero Comics”, il travaille sur de nombreuses séries “Mortadelo y Filemón“, “El botones Sacarino”, “Los muertos son malos amantes », “Broadway” et réalise de nombreuses illustrations pour différents magazines espagnols et internationaux « Rambla », ”El Víbora”, “Diari de Barcelona”, “Makoki », “Creepy”, “Comix Internacional”, “Bronx”… Il n’oublie pas son objectif premier et publie Supersoldiers ( Marvel UK, 1993), Hunter (La Plaga, 1995), Hamrarm (Glénat Espagne, 1995), Conan the Conqueror – Walls of Worclaw (Marvel Italie, 1996), Witchfinder (Planeta de Agostini, 1997-2000). Mais c’est en France qu’il redécouvre le plaisir de dessiner, plus de temps pour une meilleure qualité, d’abord chez Semic sur Kabur et King Kabur et enfin chez Soleil pour Bad Legion sur le scénario de Tackian et Miquel.
François Roussel
Né en France, au Havre le 16 mai 1966, Activité dans l’illustration et la BD depuis 1984, Participation et créateur de Fanzine de BD dans les années 80 (Dynamick, RHAA, Dimanches Enchantées… ). Travaillant parallèlement dans la publicité, l’imprimerie, puis dans l’informatique. Réalisations de nombreuses BD, texte et dessin. (non publiés, hors fanzine). Se fait connaître essentiellement dans le monde du véhicules anciens, en publiant dans des revues comme Rétro-Hebdo, Rétromania, 2CV magazine dans les années 90 puis devenant illustrateur régulier dans la revue Gazoline à partir de 2002. Publications : Dans des albums collectifs aux éditions Idées+ , depuis 2015 (8 albums dédiés à un thème , 2CV, DS Traction, route Nationale 7, etc…) Automobile Klassiker, Schneider Media, 2016, recueil d’illustration noir et blanc. Texte et dessins. Une Serpollet au Londres-Brighton, 2017, BD 6 pages, pour le Musée National de Mulhouse, Cité de l’automobile. Texte et dessins. Les plus belles voitures de Gazoline, 2022, Casa édition, recueil de 20 ans de publications dans Gazoline. Texte et dessins. Retour au Normandy, éditions Edifice, 2024, BD (6 planches). Dessins Styles et influences. Très influencé par « l’école » franco-belge, Maurice Tillieux, et surtout André Franquin, ainsi que Jean Giraud et Jacques Tardi. Les illustrations s’inspirent d’un style de dessin de l’age d’or de la BD franco-Belge en restant rigoureux sur le réalisme technique des décors et des véhicules. Style « semi-réaliste ». On y retrouve un goût prononcé pour la vulgarisation technique, des clins d’œil au cinéma et plus généralement à la culture pop des « trente glorieuses.
Fairhid Zerriouh
Zerriouh, ancien dessinateur en bâtiment de formation, travaille quelques années pour des architectes et devient dessinateur de bandes dessinées en 2001. S’en suit une vingtaine d’albums avec un style toujours proche du manga. Albator, Goldorak, Ulysse 31 sont des séries télévisées qui ont bercé son enfance et qui ont naturellement influencé son travail pour des projets d’ héroic fantasy science-fiction ou polar. En 2008 il croise Christophe Cazenove scénariste des Sisters et de Boule et Bill. Deux ans plus tard leur rencontre les amènera à réaliser une BD couleur au style résolument manga « Chroniques d’un Manga-Ka». L’histoire de Léo qui rêve de devenir dessinateur BD et plus particulièrement de « Manga ». Cinq albums sont déjà parus et disponibles sur le site de l’auteur.